Plus connu dans le domaine de la danse et de la gymnastique, le justaucorps ne se limite pas à une simple tenue ou maillot mais se porte aussi désormais quotidiennement. Mes chez les hommes, porter un Léotard (le justaucorps des hommes) à longueur de journée n’est pas évident. En effet, les femmes portent du justaucorps aussi bien pour les courses de la journée que pour aller à une soirée. Dans ce cas, il remplace un haut, un débardeur ou un top ! En outre, selon le résultat que souhaitez obtenir au niveau e la morphologie, vous pouvez très bien ne plus mettre une culotte au dessous ou en mettre. Tout dépend de votre bien-être, si vous vous sentez à l’aise ou non. IL faut savoir
Quel tenue associée au justaucorps ?
Si vous sortiez de l’entrainement et que vous n’avez plus le temps de vous changer pour aller à une soirée, et bien n’enlevez plus votre maillot d’autant plus qu’il est parfois assez difficile d’enfiler et d’enlever un justaucorps. Si votre soirée est plutôt décontractée, vous pouvez mettre un mini- short au dessus ou une jupe. S’il s’agit d’un pantalon justaucorps semblable à des leggings ou collant, vous pouvez très bien opter pour une tunique. Selon les saisons et le temps qu’il fait, il peut s’agir d’une tunique légère ou d’une tunique en pull, le tout avec une botte ou une bottines. Mais dans tous les cas, choisissez un body dans lequel vous pouvez vous déplacer sans gêne, étant qu’il s’adapte à votre silhouette.
Porter un justaucorps de manière classe en soirée
Toujours en parlant de soirée, si vous avez choisi de porter un justaucorps, gardez un côté classe ! Pour plus de féminité, N’hésitez pas à le marier avec une jupe avec une jupe, droite ou patineuse, en cuire ou en tissu léger. Peu importe le modèle, dos nus, sans manche, à manche longue ou courte… le tout est dans le choix de celui qui correspond bien à votre morphologie. Vous pouvez également le porter avec un short élégant ou un pantalon. Comme touche finale, n’hésitez pas à porter un escarpin ou n’importe quel talon et le tour est joué.
